C’est l’atmosphère si particulière au zen, et le parfum poétique du zen, le parfum religieux de la liberté absolue, qu’exhalent les poèmes rassemblés dans ce recueil. Il y a, dans ce pèlerinage poétique, de quoi s’éveiller, de quoi s’émerveiller
![](https://moundarren.com/wp-content/uploads/2018/11/zenhaiku-poem1.png)
lire un soutra
m’a réconforté
crépuscule d’automne
![](https://moundarren.com/wp-content/uploads/2018/11/zenhaiku-poem2.png)
pour bâtons d’encens
deux ou trois tiges
de fétuques
![](https://moundarren.com/wp-content/uploads/2018/11/zenhaiku-poem3.png)
avec la cloche du soir
se dissipe
le reste de chaleur