La fin de l’année nous fait ressentir, plus que n’importe quel autre moment de l’année, l’impermanence du monde. Il convient donc, si la liberté nous concerne, de nous accorder à l’impermanence universelle, découvrant là, hic et nunc, notre juste place, infinie et éternelle, dans une douce et souriante nostalgie du temps qui passe.
comme un soûtra
il me remplit de gratitude
le vieux calendrier
premier matin de l’année
un vent de jadis
souffle dans les pins