Les maîtres du haiku, qui voyageaient essentiellement à pied, empruntant le cas échéant une barque ou un cheval, décrivaient leurs impressions poétiques et paysagères dans des notes de voyage, sous la forme de haibun, un texte en prose, plus au moins long, conclu en beauté par un haiku. Tel est l’objet de ce recueil.

une bonne auberge
les montagnes alentour
en face une taverne